#Conflits Complexes
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I finished to read War and Peace by Leo Tolstoy, which is one of the greatest masterpieces ever written that explores relevant topics about complex conflicts of an unforgettable historical event.
Ho finito di leggere Guerra e Pace di Lev Tolstoj, che è uno dei più grandi capolavori mai scritti che esplora argomenti rilevanti sui conflitti complessi di un evento storico indimenticabile.
Ich habe Krieg und Frieden von Lew Tolstoi fertig gelesen, eines der größten Meisterwerke, das je geschrieben wurde, die über relevanten Themen zu komplexen Konflikten von eines unvergesslichen historischen Ereignisses untersucht.
J’ai fini de lire Guerre et Paix de Léon Tolstoï, qui est l’un des plus grands chefs-d’œuvre jamais écrits, qu’il explore des sujets relevant sur les conflits complexes d’un événement historique inoubliable.
#Leo Tolstoy#Lev Tolstoj#Lew Tolstoi#Léon Tolstoï#War and Peace#Guerra e Pace#Krieg und Frieden#Guerre et Paix#Masterpieces#Capolavori#Meisterwerke#Chefs-d’œuvre#Relevant Topics#Argomenti Rilevanti#Relevanten Themen#Sujets Relevant#Complex Conflicts#Conflitti Complessi#Komplexen Konflikten#Conflits Complexes#Historical Event#Evento Storico#Historischen Ereignisses#Événement Historique
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Vi, une Guerrière des Temps Modernes à l'Âme de Xena
Comme j’ai comparé Jinx à Harley, je me suis amusée à faire une comparaison Vi/Xena.
Vi, c’est Xena version guerrière des temps modernes. Une véritable force brute. Son allure dégage ce mélange irrésistible de puissance et de vulnérabilité. Mais elle incarne aussi l’héroïne d’une tragédie grecque.
J’ai choisi une image sombre de Vi pour une raison simple : elle est mon personnage préféré, et tout en elle est splendide. Ses tenues, son physique sculptural, ce regard qui mélange défi et malice, sans oublier son humour bien à elle. Mais ce qui la rend encore plus fascinante, c’est son aura en mode sombre. C’est dans ces moments-là qu’elle est impressionnante, lorsque ses blessures refont surface. Sa jacket, avec son design d’une Vi sombre. J’adore.
Parallèle entre Vi et Xena
Toutes deux sont hantées par leur passé et leur quête de rédemption.
Xena, la Princesse Guerrière, porte le poids d’un passé sanglant. Ancienne conquérante et destructrice, elle cherche à se racheter en protégeant les innocents et en redressant les torts qu’elle a causés. Cette lutte intérieure est au cœur de son personnage : elle est une femme puissante mais brisée, en quête de sens et de pardon.
Vi est rongée par la culpabilité d’avoir échoué à protéger sa sœur Powder/Jinx. Comme Xena, elle utilise la violence comme moyen de survie et d’expression, et doit trouver son chemin de rédemption.
Xena est redoutable sur le champ de bataille, mais elle a également un côté profondément protecteur et maternel, notamment envers Gabrielle, sa compagne/amie. Leur relation, teintée d’amour et de complicité, révèle une Xena plus vulnérable, prête à tout pour protéger celle qu’elle aime.
Vi incarne cette même dualité. Elle est féroce au combat, mais montre une douceur désarmante envers Jinx (malgré leur conflit) et Caitlyn. Elle est à la fois une sœur protectrice, une amante vulnérable et une guerrière brutale.
Vi, une Xena des bas-fonds
Vi évolue dans un univers où la justice est corrompue, et où l'espoir est un luxe rare. Son combat n’est pas celui d’une héroïne mythologique contre des monstres fantastiques, mais d’une femme moderne contre des forces bien réelles : l’injustice sociale, les conflits familiaux, et ses propres échecs.
Là où Xena manie l’épée et le chakram face à des dieux, des mythes et des légendes, Vi brandit ses poings mécaniques dans un univers technologique marqué par l’oppression sociale et les inégalités. Elle lutte contre le système oppressif de Piltover et les démons de Zaun, tout en essayant de sauver sa sœur d’une folie qui semble inéluctable.
Contrairement à Xena, qui s’appuie sur des armes iconiques et des techniques de combat antiques, Vi est un produit de son époque. Ses gantelets mécaniques symbolisent la fusion entre l’humain et la technologie. Ils sont l’extension de sa rage et de sa force brute. Vi n’a pas seulement des muscles, elle a un sens aigu de la justice et une humanité profonde. Cela fait d’elle une guerrière moderne dans tous les sens du terme : une femme qui utilise à la fois la force physique, la technologie, et son intelligence émotionnelle pour naviguer dans un monde complexe et inhospitalier, même lorsqu’elle ne sait pas toujours gérer ses propres émotions.
Vi, une héroïne queer et actuelle
Là où Xena était une figure féministe des années 90, Vi incarne un féminisme contemporain, en étant à la fois queer et indépendante. Sa relation avec Caitlyn est un élément clé de son identité. Elle offre une représentation positive dans un univers sombre.
Des antagonistes façonnées par la tragédie
Dans les deux cas, Jinx et Callisto représentent ce qu’il y a de plus sombre dans le passé de leurs "créatrices". Elles incarnent la conséquence des erreurs commises et leurs échecs.
Jinx, malgré sa folie et sa violence, reste une figure tragique. Elle reflète à la fois l’échec de Vi en tant que sœur, mais aussi la douleur des traumas d’enfance dans un monde brutal comme Zaun. Callisto, quant à elle, est l’image du cycle de la haine. Pour Callisto, Xena est le monstre responsable de ses souffrances, et elle décide de devenir ce même monstre pour se venger.
Pour Vi comme pour Xena, Jinx et Callisto sont plus que des adversaires : elles sont des échos de leur propre échec. Elles forcent les deux héroïnes à affronter leur passé, à regarder leurs erreurs en face, et à tenter de s’en racheter.
Conclusion : Vi, une guerrière moderne avec l’âme d’une Xena
Vi et Xena partagent cette lourde responsabilité : avoir donné naissance, indirectement, à des figures de chaos. Cela les rend profondément humaines, car leurs combats ne sont pas seulement extérieurs, mais aussi intérieurs, contre leur propre culpabilité et leurs erreurs passées.
Vi peut être vue comme une héritière spirituelle de Xena, adaptée aux sensibilités et aux défis du XXIe siècle. Là où Xena s’est battue pour racheter un passé sanglant dans un monde de légendes, Vi se bat pour protéger son présent et sauver son futur dans un univers technologique et brutal.
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"Dans une histoire d'amour, on n'est jamais deux face à face, jamais isolés dans un imaginaire libre et généreux. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. Une longue chaîne de forçats menaçants qui nous tirent en arrière et nous lestent de leurs vieux conflits, leurs vieilles fripes, leurs masques grimaçants, leurs cœurs dévastés, impuissants. Nos mères et nos pères, nos grand-mères et nos grands-pères, nos arrière-grand-mères et nos arrière-grands-pères Ainsi de suite...
On porte, sans le savoir, leurs peurs et leurs angoisses, leurs rancœurs et leurs haines, leurs élans brisés et leurs blessures ouvertes, leurs espoirs déçus et cette scie meurtrière: on ne m'y reprendra jamais plus, jamais plus, jamais plus. Comme si l'amour n'était qu'une guerre en plus, un règlement de comptes impitoyable, une histoire de succession jamais fermée. Tous ceux qui murmurent à nos oreilles sans qu'on les entende: "J'étais là avant" nous bousculent, s'installent dans nos vies, y déroulent leurs histoires et nous bouchent nos plus beaux horizons."
Je termine ce soir la lecture de "J'étais là avant" de Katherine Pancol. J'avais déjà essayé de la lire, dans "Les yeux jaunes (ou verts ?) des crocodiles", et dans un autre livre au titre aussi tarabiscoté et je n'avais pas accroché. Babelio a dit "Oh j'avais bien aimé les yeux verts (ou bleus ? 'fin bref) des crocodiles et là j'ai été déçu".
Du coup j'ai foncé.
Le résumé parle ici d'une femme qui aligne les hommes sans lendemain et se sauve dès qu'ils montrent des signes d'amour, puis elle tombe sur un homme qui lui aussi, s'ébroue dans des relations problématiques, et justement celui-ci est digne d'intérêt et là comme ça on dirait un navet romantique à lire en vitesse le dimanche après-midi avec la F1 en fond sonore, mais pas du tout. Car les personnages sont complexes, on se retrouve à arpenter le passé de l'un puis de l'autre et comprendre d'où viennent leurs fonctionnements, leurs blessures, et c'est finalement une grosse réflexion (ou peut-être que je réfléchis trop et je devrais me contenter de lire ?) sur les fantômes du passé, sur les blessures qu'on hérite de nos parents et plus particulièrement de nos mères, sur les moyens de se détacher de "ce grand ennemi" et une conclusion superbe sur ce qu'est l'amour.
Je l'ai démarré en ayant envie d'un bouquin un peu chill et du coup au début j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui n'était pas ce que j'attendais, arrête de me parler de sa mère et parle-moi de son coupleuuh. Mais j'ai été assez vite touchée par ce récit de vie finalement, et j'ai trouvé l'analyse et la réflexion intéressantes.
⭐⭐⭐⭐
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Hello ! J’ai une question un peu particulière (à laquelle tu peux répondre en privé comme en publique si tu veux)
Je m’abstiens de commenter le conflit israelo-palestinien dans mes cercles sociaux car j’estime ne pas en connaître suffisamment sur le sujet. De ce qu’on apprend au lycée, j’ai particulièrement retenu que c’était bien plus complexe que « les méchants contre les gentils ». J’arrive à un point où il me semble essentiel d’en savoir plus et de me former une vraie opinion. La manière générale dont les informations sont relayées est un peu trop subjective à mon goût. Je me demandais si tu conseillais des sources particulières pour se renseigner, qui ne sont pas aussi manichéennes que ce qu’on peut voir sur les réseaux et dans les cercles de gauche.
Je te suis depuis pas mal de temps maintenant et va savoir pourquoi, il m’a paru assez évident de me tourner vers toi pour cette question. Je me suis dit que je ne perdais rien à demander :)
Oh ça me flatte beaucoup!
Écoute déjà bien comprendre l’histoire de la région aide. Même une recherche tout simple dans une encyclopédie
- sur l’empire Ottoman et son influence dans la région
- sur ce qu’il s’est passé pendant la 1e guerre mondiale et surtout les accords Sykes-Picot
Déjà ça te donnera une bonne idée de ce qu’il s’est passé avant. Ensuite, tu peux de la même façon lire :
- Sur les prémisses du sionisme au XIXe eu Europe, pour comprendre comment ce mouvement est né et dans quel contexte.
- sur les mandats français et britanniques jusqu’à la fin de la 2e GM dans la région et en particulier la Palestine mandataire, gérée par le Royaume Uni
Ça c’est pour le contexte avant la création d’Israël.
Après tu peux lire sur les différentes guerres déclenchées par les pays voisins dès la création d’Israël : guerre des Six Jours, guerre du Kippour etc… et leurs conséquences sur la géographie actuelle du pays.
Puis sur la constitution depuis les pays voisins des mouvements type FPLP, et leurs conséquences sur la région : septembre noir en Jordanie, guerre civile du Liban, guerre Irak-Koweit etc… Et notamment la personnalité de ses leaders comme Yasser Arafat.
Pour le moyen orient de manière générale : l’expulsion des juifs du moyen orient après 1948, l’idéologie pan-arabe / parti baas, les rivalités chi’ites - sunnites et les guerres qu’elles ont provoqué, la montée du wahhabisme / islamisme dans le contexte de la guerre froide et son influence > révolution Iranienne etc
Puis à partir des années 90 : accords de Camp David, les différentes intifadas, l’histoire du Hamas, etc jusqu’à aujourd’hui.
Comme auteur français sur le sujet j’aime bien Martine Gozlan qui a aussi écrit des livres qui sont bien fait sur le sujet. Il y a une journaliste que je suis sur Twitter qui s’y connaît plutôt bien aussi c’est Laura-Maï Gravériaux. Mais tous les autres (Georges Malbrunot, et compagnie = 🚮 et j’espère qu’ils ont jeté leurs talkie walkie)
Mais déjà une bonne lecture encyclo fait du bien au cerveau, quand j’ai commencé à me renseigner là-dessus à la vingtaine je ne savais pas 5% du contexte (et pourtant j’étais très encouragée à avoir une opinion 😅).
Je me considère comme relativement bien informée maintenant mais je dois être à 60% peut-être !
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La nuance du conflit entre le paradis et l'enfer (The nuance of the conflict between Heaven and Hell)
Y a quelque chose que j'apprécie dans le conflit c'est que ça apporte son lot de nuance. Au premier abord, on pourrait voir comme une ��nième histoire "le paradis est mauvais et l'enfer est bon". Mais je trouve que c'est quand même un peu plus complexe. Sera est un bon exemple de cette nuance. Elle tient à la sécurité du paradis et pense que sa solution d'exterminer les pêcheurs est la bonne solution. Elle dit plusieurs fois de ne pas poser de questions. Car la dernière fois que quelqu'un s'est rebellé, c'était Lucifer et elle était témoin de ça. Je me demande comment était la relation entre ces deux là. Sera est l'opposé de Lucifer, elle sait ce qui ce qui se passez chez elle et a une relation amicale avec Emily, qu'elle apprécie et se soucie d'elle. Mais pour la préserver de certaines vérités, elle lui cachera la vérité concernant l'extermination.
Contrastant avec Lucifer qui a été absent, délaissant l'enfer et son statut de roi à cause de sa dépression Et il est contre l'idée de sa fille pour éviter qu'elle vive la même chose qu'il a vécu par le passé. Emily et Charlie se contrastent aussi, Charlie est pleinement consciente de la situation de l'enfer et au début idéalise le paradis avant de comprendre ce qu'il en retourne vraiment. Emily n'a pas vraiment d'animosité envers l'enfer, les démons voir même les pêcheurs. Mais elle est ignorante concernant les décisions que prennent le paradis pour l'enfer. Elle espérait que Sera soit dans l'ignorance mais non. On pourrait avoir un scénario où justement Emily soit déchue et tombe en enfer. Mais je pense que ce serait plus intéressant si elle change les choses de l'intérieur, avec l'aide de Sir Pentious, qui est la preuve que les pêcheurs peuvent se repentir. Ce serait un parallèle avec Charlie avec son Hazbin Hotel qui souhaite repentir les pêcheurs et Emily qui essaie justement d'ouvrir les yeux des habitants du Paradis.
Quand à Sera, je la vois pas foncièrement méchante, ses intentions sont compréhensibles mais ce sont ses méthodes qui sont mauvaises. On ne sait pas vraiment qui amène les âmes aux Paradis ou bien ce sont les âmes qui font le chemin tout seul entre le paradis et l'enfer. Et Sera pourrait se questionner sur les choses qu'elle a apprit, elle pourrait douter sur ce qu'elle croit. Je pense qu'elle sait bien qu'on ne le laisse le croire. Dans la chanson "Tu ne le savais pas" elle dit à Charlie qu'elle se bat pour une noble cause mais qu'elle ignore tant de choses. Donc y a encore de choses à découvrir.
One thing I like about conflict is that it brings its own nuance. At first glance, it might seem like the umpteenth "heaven is bad and hell is good" story. But I think it's a bit more complex. Sera is a good example of this nuance. She wants heaven to be safe, and thinks her solution of exterminating the sinners is the right one. She says several times not to ask questions. Because the last time someone rebelled, it was Lucifer and she witnessed it. I wonder what the relationship between these two was like. Sera is the opposite of Lucifer, she knows what's going on In Paradis and has a friendly relationship with Emily, whom she likes and cares about. But to protect her from certain truths, she hides the truth about the extermination from her.
Contrasting with Lucifer who has been absent, forsaking hell and his status as king because of his depression And he is against the idea of his daughter to avoid her experiencing the same thing he has in the past. Emily and Charlie also contrast, Charlie being fully aware of the situation in hell and initially idealizing paradise before understanding what it's really like. Emily has no real animosity towards hell, demons or even sinners. But she is ignorant of the decisions heaven makes for hell. She'd hoped Sera would be in the dark, but no. We could have a scenario where Emily falls into hell. But I think it would be more interesting if she changed things from the inside, with the help of Sir Pentious, who is proof that sinners can be redeemed. It would be a parallel with Charlie and his Hazbin Hotel, who wants to repent the sinners, and Emily, who is trying to open the eyes of the residents of Heaven.
When it comes to Sera, I don't see her as inherently evil, her intentions are understandable but it's her methods that are bad. We don't really know who brings souls to Heaven, or whether it's the souls who make their own way between Heaven or Hell. And Sera might question the things she's learned, she might doubt what she believes. I think she knows better than to let us believe it. In the song "You didn't know" she tells Charlie that she's fighting for a noble cause, but there's so much she doesn't know. So there's more to discover.
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Très joli roman qui a attiré mon attention grâce au prix Femina des lycéens (je ne savais même pas que ce prix existait!).
Le point de départ (qui a l’air largement autobiographique), c’est Ilaria, petite fille de huit ans qui attend que sa sœur vienne la chercher après l’école. C’est son père qui déboule, inattendu, et qui l’emmène pour une escapade qui se transforme en cavale de deux ans. Ça se passe dans les années 80 en Italie, pendant les années de plomb.
Tout est vu à hauteur d’enfant, grâce à des phrases courtes, axées sur ce que comprend Ilaria des humeurs de son père. Car celui-ci a été rejeté par son épouse, il est malheureux, et terriblement égoïste : il arrache la petite fille à sa mère, sa sœur et son pays (elle vivait en Suisse au moment des faits). Il enlève sa fille pour des motivations obscures, sans doute pour mettre de la pression à Antonia, son ex femme. Il est tout à tour drôle, grandiloquent, éblouissant de charisme et sombre, taiseux, maltraitant, manipulateur. La petite fille est aux aguets, et prise dans un conflit de loyauté. C’est une équation complexe que j’ai connue, à ma façon, et c’est très bien rendu. On ne se rend compte que bien après de l’injustice de la chose. Pris dans les feux croisés, on souffre et on s’efforce d’être « bonne fille ». On apprend à mesurer ce que l’on peut dire et comment le dire. On marche sur des œufs. Ici, la situation est extrêmement et on peut craindre jusque pour la sécurité de l’enfant.
Ilaria doit alors conquérir sa façon de désobéir, pour faire face. Elle est trimballée comme un paquet dans divers endroits, et apprend à s’adapter vite, à saisir l’affection de celles et ceux qui arrivent à lui en donner sans que ce soit une monnaie d’échange. C’est assez poignant.
Les phrases sont courtes, syncopées, impressionnistes. Sensibles.
C’est triste. Pour l’enfant, mais aussi pour le père évidemment, complètement borderline et alcoolique.
On a le récit de cette errance en voiture, à travers l’Italie violente, avec le réconfort modeste et mélancolique des Autogril, où le duo s’arrête pour manger et dormir. De nouvelles habitudes se créent, mais face à un père aussi changeant, obsédé par ses arrêts dans les cabines téléphoniques d’où il harcèle celle qui le rejette, c’est l’insécurité psychologique qui s’installe. Un affreux cadeau à faire à un enfant.
Bref, joli livre sensible et touchant, qui scrute la psyché d’une petite fille prisonnière d’un problème qui n’est pas le sien. Un livre qui contient aussi une dose d’espoir, une échappée intérieure salvatrice.
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Au cours des siècles suivants, la statue a été déplacée à plusieurs reprises, en raison des guerres et des conflits entre les royaumes. Elle a finalement été placée à Bangkok en 1784, lorsque le roi Rama I a fondé Bangkok comme la capitale de la Thaïlande.
La statue a été abritée dans le temple royal du Wat Phra Kaew, faisant partie du complexe du Grand Palais de Bangkok, depuis cette époque. La statue est vêtue de robes en or, qui sont changées trois fois par an pour correspondre aux trois saisons du pays ; l'été, la saison verte et la saison sèche. La saison chaude a lieu de mars à mai, la saison verte de juin à octobre et la saison sèche de novembre à février.
Le changement d'habit de la statue du Bouddha Prakaew Morakot a lieu trois fois par an, à l'occasion de trois événements importants du calendrier bouddhiste :
1. Au début de la saison d'été, en avril.
2. Au milieu de la saison verte, en juillet.
3. Au début de la saison sèche, en novembre.
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Ce que nous a démontré l’expérience comme la théorie qui a conduit Freud, c’est qu’il y a une certaine façon de s’introduire dans ce relief qui est le signifiant fondamental, que le complexe d’Œdipe est justement là pour ça, pour quelque chose que le fait que nous admettions maintenant comme un fait d’expérience courante que de n’avoir pas traversé l’épreuve de l’Œdipe…
c’est-à-dire de n’avoir pas vu s’ouvrir devant soi les conflits et les impasses, et de ne pas l’avoir résolu d’une certaine façon par une certaine intégration, qui n’est pas simplement intégration de ses éléments à l’intérieur du sujet, mais aussi prise du sujet dans ses éléments qui sont donnés à l’extérieur …si nous admettons si facilement que le fait de n’avoir pas réalisé cette épreuve, laisse le sujet précisément dans un certain défaut, une certaine impuissance de la réalisation des distances justes qui s’appellent la réalité humaine, c’est que nous tenons justement que le terme de réalité implique cette intégration à un certain jeu de signifiants.
Je ne fais là que simplement formuler ce qui est admis par tous d’une façon en quelque sorte implicite dans l’expérience analytique.
(Lacan - Les psychoses)
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De 1947 à 2023, un conflit complexe. 1947 : après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de juifs européens dont de nombreux survivants de la Shoah émigrent vers la Palestine alors sous mandat britannique. À bord du navire Exodus 1947, ils sont interceptés par des navires de la marine britannique et renvoyés en Europe. Cet incident suscite l'indignation internationale et joue un rôle essentiel pour convaincre le Royaume-Uni qu'une solution négociée par les Nations unies est nécessaire pour résoudre la crise en Palestine. Le Comité spécial des Nations unies approuve un plan de partage, le 29 novembre, qui accorde 56,47 % de la Palestine à un État juif et 43,53 % à un État arabe. La ville de Jérusalem est, quant à elle, placée sous statut international.
1948-1949 : David Ben Gourion, président du Conseil national juif, lit publiquement la Proclamation d'indépendance d’Israël, le 14 mai. L’État juif prend alors le contrôle de 77 % du territoire de la Palestine sous mandat, selon l’ONU. Cette déclaration précède d'un jour l'expiration du mandat britannique sur la Palestine. Pour les Palestiniens, cette date marque la Nakba (catastrophe) un exode forcé qui annonce leur déplacement et leur dépossession. Plusieurs centaines de milliers de Palestiniens ayant entendu parler de massacres dans des villages, tels que Deir Yassin, fuient vers l'Égypte, le Liban et le territoire jordanien. Les armées de l'Égypte, de la Syrie, du Liban, de la Jordanie (ex-Transjordanie) et de l'Irak attaquent Israël, le 14 mai, déclenchant la première guerre israélo-arabe. Les armées arabes sont repoussées durant les derniers mois de l'année. Un groupe de réfugiés arabes chassés de leur maison par des attaques en Galilée marche le long d'une route reliant Jérusalem au Liban, le 9 novembre 1948.
1949 : un cessez-le-feu est déclaré entre les parties prenantes au conflit durant la première partie de l'année. La Jordanie prend le contrôle de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, l'Égypte contrôle la bande de Gaza. Les lignes de cessez-le-feu deviennent, quant à elles, les frontières d'Israël plus favorables que celles du partage de l'ONU.
1956 : la deuxième guerre israélo-arabe a lieu après la nationalisation du canal de Suez par l'Égypte. Israël, le Royaume-Uni et la France forment une alliance, et l’État juif occupe la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï. L'armée israélienne, sous la pression des États-Unis et de l'URSS, retirera plus tard ses troupes.
1959 : l’organisation palestinienne Fatah est créée dans la clandestinité à Gaza et au Koweït par Yasser Arafat et ses partisans. Elle va devenir par la suite la principale composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).
1964 : la Ligue des États arabes crée l'Organisation de libération de la Palestine à Jérusalem. L’OLP regroupe toutes les organisations palestiniennes de l’intérieur et des camps de réfugiés à l’extérieur.
1967 : la troisième guerre israélo-arabe, ou guerre des Six-Jours, est déclenchée par Israël. Entre le 5 et le 10 juin, l’État juif obtient une victoire éclatante sur les pays arabes voisins. Ce bref conflit entraîne aussi un redécoupage spectaculaire de la carte du Moyen-Orient : Israël s'empare de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, de la bande de Gaza, de la péninsule du Sinaï et du plateau du Golan.
1973 : l’Égypte et la Syrie lancent, le 6 octobre, une offensive contre Israël pour reconquérir le Sinaï et le Golan. C’est le début de la quatrième guerre israélo-arabe, ou guerre du Kippour – car lancée lors de la fête juive du Yom Kippour. Israël repousse finalement les armées et le conflit se termine à la fin du mois, mais les deux parties subissent de lourdes pertes.
1978 : les accords de Camp David sont signés, le 17 septembre, par le président égyptien Anouar el-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin. Selon les termes de cet accord, l’Égypte regagne la péninsule du Sinaï qu’elle avait perdue lors de la guerre des Six-Jours. Anouar el-Sadate devient le premier leader arabe à reconnaître l’État d’Israël.
1979 : un accord de paix israélo-égyptien est scellé à Washington à la suite des accords de Camp David.
1982 : le ministre israélien de la Défense, Ariel Sharon, lance l’armée dans une opération militaire controversée au Liban, baptisée "Paix en Galilée". L’objectif affiché est de chasser les troupes de l’OLP du sud du Liban. Mais l’armée israélienne poursuit son offensive jusqu’à la capitale libanaise, Beyrouth. La déroute de l’OLP de Yasser Arafat laisse les camps de réfugiés palestiniens au Liban pratiquement sans défense. Du 16 au 18 septembre, des milices libanaises phalangistes chrétiennes se livrent à des massacres dans les camps de Sabra et Chatila, situés dans une zone sous contrôle israélien. Ces massacres, qui ont fait l'objet d'une enquête israélienne connue sous le nom de "Commission Kahane", vont conduire à la démission d’Ariel Sharon.
1987 : la première intifada (“soulèvement” en arabe) débute dans la bande de Gaza et s’étend rapidement à la Cisjordanie. Surnommée la “guerre des pierres”, cette révolte contre l’occupation israélienne dure jusqu’en 1993 et coûte la vie à au moins 1 000 Palestiniens. C’est aussi durant ce soulèvement que naît le mouvement islamiste Hamas, qui refuse la moindre légitimité à Israël.
1993 : après d’intenses négociations secrètes à Oslo, Yasser Arafat et le Premier ministre israélien Itzhak Rabin signent à Washington les accords d’Oslo. Ces accords prévoient la création de l'Autorité palestinienne, qui obtient le contrôle administratif de la Cisjordanie et de la bande de Gaza et à la tête de laquelle Yasser Arafat sera élu en 1996. Le 13 septembre, Itzhak Rabin et Yasser Arafat échangent sur la pelouse de la Maison Blanche
une poignée de main historique en présence du président américain Bill Clinton.
1995 : Itzhak Rabin est assassiné le 4 novembre par un extrémiste juif lors d’un grand rassemblement pour la paix à Tel-Aviv.
2000 : le chef du parti de droite israélien Likoud, Ariel Sharon, se rend sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, le 28 septembre. Cette visite est considérée comme une provocation par les Palestiniens. La seconde intifada, également appelée “Intifada al-Aqsa”, débute le lendemain. Elle va durer jusqu’en 2005, faisant pendant cinq ans 3 000 morts côté palestinien et 1 000 côté israélien.
2001 : Ariel Sharon est élu Premier ministre d’Israël et rompt tout contact avec Yasser Arafat. Ce dernier est confiné dans son quartier général de Ramallah par l’armée israélienne.
2002 : le gouvernement d’Ariel Sharon déclenche l’opération “Rempart”, le 29 mars. Israël commence la construction d'un mur de 8 mètres pour séparer Israël de la Cisjordanie. C’est aussi cette année-là que le Conseil de sécurité de l’ONU mentionne pour la première fois, dans plusieurs résolutions, la coexistence de deux États – Israël et la Palestine. Enfin, l’armée israélienne lève le siège de Ramallah.
2004 : le cheikh Ahmed Yassine, cofondateur et chef spirituel du Hamas, est tué par une frappe d'hélicoptère israélienne, le 22 mars. Huit mois plus tard, le 11 novembre, Yasser Arafat décède des suites d'une maladie dans un hôpital parisien. La mort du président de l’Autorité palestinienne est, depuis, sujette à controverse : certains experts font état d’une mort naturelle et d’autres envisagent la possibilité d’un empoisonnement au polonium 210.
2005 : Mahmoud Abbas est élu président de l’Autorité palestinienne. Après 38 années d’occupation, Israël se retire de la bande de Gaza.
2006 : le Premier ministre israélien Ariel Sharon est victime d’une attaque cérébrale, le 4 janvier – il tombe et reste dans le coma pendant huit ans avant de décéder le 11 janvier 2014. Ehud Olmert lui succède au poste de chef du gouvernement, ainsi qu’à la tête du nouveau parti Kadima qu’il avait fondé en novembre 2005. Le 12 juillet, une guerre de 34 jours démarre entre le Hezbollah libanais et Israël, à la suite d’attaques à la roquette du groupe islamiste chiite, ainsi que de l’enlèvement et de la mort de plusieurs soldats israéliens. Israël déclenche en retour une offensive, provoquant la mort d’au moins 1 000 Libanais (et plus de 100 morts côté israélien). L’État hébreu fait aussi face à sa pire défaite militaire depuis sa création, en 1948.
2007 : après des mois de luttes intestines entre le Fatah et le Hamas, ce dernier prend le contrôle de Gaza. La violence dans la région se poursuit. Aux attaques palestiniennes à la roquette, Israël répond par des raids. Le 29 mars, la Ligue arabe relance son "initiative" de paix au sommet de Riyad, en Arabie saoudite.
2008 : l’armée israélienne lance une offensive militaire sur Gaza pendant trois semaines, le 27 décembre. Nommée opération “Plomb durci”, c’est une offensive aérienne puis terrestre. C’est aussi à ce jour l'attaque israélienne la plus meurtrière jamais menée contre le territoire côtier palestinien : près de 1 400 Palestiniens – principalement des civils – sont tués, contre 13 côté israélien. Un rapport de l’ONU accuse alors Israël de “crime de guerre”.
2011 : Israël déploie le Dôme de fer, le 27 mars. Ce système de défense antimissile permet aux forces israéliennes d'intercepter les roquettes de courte portée régulièrement tirées par le Hamas depuis Gaza.
2012 : l’armée israélienne lance une deuxième opération militaire contre les groupes armés à Gaza, le 14 novembre. Le commandant en chef du Hamas, Ahmed al-Jaabari, est tué durant cette opération “Pilier de défense” qui dure huit jours. L’organisation islamiste riposte aux frappes israéliennes en tirant des roquettes sur Jérusalem pour la première fois. Plus de 170 Palestiniens et six Israéliens sont tués.
2014 : trois adolescents israéliens sont enlevés et assassinés au mois de juin. Les autorités israéliennes rejettent alors la responsabilité sur le Hamas. Ce climat d'extrême tension conduit l’armée israélienne à déclencher, le 8 juillet, une nouvelle opération militaire (“Bordure protectrice”) sur Gaza la troisième en moins de six ans. Israël mène des frappes aériennes et une opération terrestre sur sept semaines, le Hamas réplique avec des tirs de roquette. Cette opération fait près de 2 200 victimes côté palestinien et 73 côté israélien.
2018 : des dizaines de milliers de Palestiniens se rassemblent près de la frontière israélienne, le 30 mars, pour protester contre le blocus israélien de la bande de Gaza. Les manifestations se poursuivent pendant plusieurs mois, au cours desquels les troupes israéliennes tirent à balles réelles sur les manifestants. Au moins 189 Palestiniens ont été tués et plus de 6 000 blessés au cours de ces manifestations entre la fin mars et la fin décembre 2018, selon la Commission d’enquête internationale indépendante mandatée par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
2021 : en mai, des fidèles palestiniens affrontent la police israélienne dans l'enceinte de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem après des semaines de tension croissante. Le Hamas lance un déluge de roquettes sur Israël après avoir exigé que les forces israéliennes se retirent de l'enceinte. Israël répond par des frappes aériennes sur Gaza, déclenchant un conflit de 11 jours et causant la mort de plus de 200 personnes.
2022 : Israël bombarde Gaza de frappes aériennes, le 5 août, tuant un militant de haut rang d'un groupe du Jihad islamique et déclenchant des tirs de roquettes en représailles depuis l'enclave palestinienne. Au moins 40 Palestiniens sont tués au cours des trois jours de combat qui suivent.
2023 : les forces israéliennes tuent neuf Palestiniens du Jihad islamique et des civils lors d'un raid dans une ville de Cisjordanie occupée, le 26 janvier. Les militants palestiniens ripostent en tirant deux roquettes, ce qui déclenche des représailles de la part d'Israël. Aucune autre victime n'est signalée.
2024 : le 7 octobre, le Hamas lance une attaque surprise sans précédent sur plusieurs fronts contre Israël, des combattants infiltrant la frontière lourdement fortifiée en plusieurs endroits par voie aérienne, terrestre et maritime. Les forces israéliennes répondent par des frappes aériennes et des renforts militaires à la frontière de Gaza.
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Référence commentées
Joaquin Sorolla
Ce peintre était connu pour ses œuvres lumineuses et vibrantes qui capturaient la vie quotidienne en Espagne à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Il excellait dans la représentation de la lumière, utilisant des couleurs vives et des effets de lumière pour créer des toiles éclatantes. Outre ses compétences artistiques, Sorolla était également un homme très engagé socialement. Il a utilisé son art pour sensibiliser aux problèmes sociaux de son époque, notamment en peignant des scènes de la vie quotidienne des pêcheurs, des ouvriers et des enfants défavorisés. Son engagement et sa vision de la famille reflétés à travers ses oeuvres, sont une source d'inspiration pour mes propres créations.
Frida Kahlo
Frida Kahlo est une artiste mexicaine du XXe siècle, célèbre pour ses autoportraits émotionnels et introspectifs. Son œuvre explore la douleur physique et émotionnelle, l'identité, le genre et la culture mexicaine. Elle a utilisé la peinture comme moyen d'exprimer son vécu, marqué par un accident traumatisant, une relation tumultueuse avec Diego Rivera et un engagement politique. Ses tableaux, riches en symboles, sont aujourd'hui reconnus mondialement, faisant d'elle une figure féministe emblématique de l'art. En tant que femme, la puissance de ses œuvres m'a inculqué une vision plus impactante de l'art.
Willy Ronis
Willy Ronis était un photographe français renommé, reconnu pour ses contributions significatives à la photographie humaniste. Né à Paris, son travail a capturé la vie quotidienne et les scènes de rue, mettant en lumière la beauté de l'existence ordinaire. C'est à travers son livre "ce jour là" que j'ai découverts Willy Ronni, c'est avec son oeuvre que ma passion pour l'argentique fût révélée. Ses photographies, empreintes de sensibilité sociale, reflètent son engagement envers les valeurs humanistes et son intérêt pour la condition humaine. Ronis est particulièrement célèbre pour ses images intemporelles de Paris et pour avoir documenté la vie des travailleurs et des familles.
Tishk Barzanji
Tishk Barzanji est un artiste visuel et illustrateur basé à Londres, connu pour son travail artistique contemporain. Originaire du Kurdistan irakien, Barzanji a fui la région en raison de conflits armés pour finalement s'installer au Royaume-Uni. Son art se caractérise par des paysages urbains surréalistes et des compositions abstraites, souvent dominées par des teintes pastel et des formes géométriques. Barzanji explore des thèmes tels que la nostalgie, la mémoire et l'étrangeté à travers ses créations, qui ont été exposées dans plusieurs galeries et ont attiré l'attention pour leur esthétique distinctive et leur narration visuelle intrigante. Le parcours de cet artiste me touche particulièrement, il arrive à exprimer son histoire d'une façon poétique.
Iris van herpen
Iris van Herpen est une créatrice de mode néerlandaise renommée, née en 1984. Elle est reconnue pour son approche avant-gardiste et innovante de la mode, explorant les intersections entre la technologie, la science et l'art. Ses créations sont souvent caractérisées par des techniques de coupe complexes, des matériaux futuristes et des formes sculpturales uniques. Van Herpen a collaboré avec des scientifiques, des architectes et des artistes pour repousser les limites de la mode contemporaine. Je trouve sa façon de travailler avec les volumes et l'espace l'espace très intéressante. J’ai énormément apprécié son exposition sculpting the scene MAD (musée des arts décoratifs) cela m’a permis d’apprendre d’avantage sur sa manière de travailler ses créations ainsi que de comprendre sa vison du monde. Elle a fondé sa propre maison de couture, Iris van Herpen, en 2007, et ses collections ont été présentées lors de défilés de mode internationaux, suscitant l'admiration pour son approche visionnaire de la création de vêtements.
Daniel Roseberry
Daniel Roseberry est un designer de mode américain, surtout connu pour son rôle de directeur artistique de la maison de couture Schiaparelli. Né en 1986, il a été nommé à ce poste en 2019, apportant une vision moderne et innovante à la maison de couture fondée par Elsa Schiaparelli. Roseberry a gagné en reconnaissance pour ses créations audacieuses, combinant l'héritage surréaliste de Schiaparelli avec des éléments contemporains. C'est ce que j'apprécie dans ses créations, souvent caractérisées par des détails excentriques et des formes inattendues. Il arrive à créer des pièces qui se démarquent dans le monde de la haute couture. Daniel Roseberry a ainsi contribué à insuffler une nouvelle vie et une nouvelle énergie à la maison de couture emblématique.
Wes Anderson
Wes Anderson est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 1er mai 1969. Il est connu pour son style cinématographique distinctif et sa mise en scène visuellement captivante. Son travail est souvent caractérisé par des décors minutieusement conçus, des couleurs vives, des dialogues stylisés, une utilisation distinctive de la musique et une distribution récurrente d'acteurs tels que Bill Murray, Owen Wilson, et Jason Schwartzman. Les films de Wes Anderson sont souvent considérés comme des œuvres d'art visuelles, et il a reçu de nombreuses nominations et récompenses pour son influence unique dans l'industrie cinématographique. Son travail est remarquable et très pointilleux, tout est dans le détail et je trouve cela très important. Selon moi le détail est ce qui permet à une oeuvre d'apporter plus d'intention.
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La différence d'âge idéale dans les relations : analyse complète
L'amour ne connaît pas de limites, surtout quand il s'agit d'âge. Mais dans quelle mesure la différence d'âge importe-t-elle vraiment dans une relation ? Existe-t-il un écart d'âge idéal qui peut augmenter les chances de bonheur durable d'un couple ? Dans la quête de réponses, nous nous tournons vers la science, les études sociales et les opinions d'experts. Comprendre les différences d'âge dans les relations La différence d'âge entre les couples est un sujet qui a été analysé et étudié dans divers domaines tels que la psychologie, la sociologie et la démographie. La différence d'âge 'idéale' dans une relation est subjective et peut varier d'un couple à l'autre, mais la recherche suggère que certains écarts d'âge peuvent avoir un impact significatif sur la dynamique des relations et leur longévité. La science derrière la différence d'âge Une étude publiée dans la revue 'Population Studies' suggère que plus la différence d'âge est grande, plus les chances de séparation sont élevées. À l'inverse, les couples dont la différence d'âge est faible ont statistiquement plus de chances d'avoir une relation réussie et durable. Une autre étude de l'Université Emory a examiné 3 000 personnes et a trouvé que la différence d'âge idéale pour un mariage réussi est d'un an, avec un risque de divorce qui augmente à mesure que l'écart d'âge se creuse. La perspective sociale D'un point de vue social, la différence d'âge peut influencer la perception du couple au sein de leurs cercles sociaux et de la société en général. Un écart d'âge significatif peut conduire à la désapprobation ou à l'incompréhension, ajoutant une pression supplémentaire sur la relation. Les normes culturelles jouent également un rôle. Dans certaines cultures, un écart d'âge plus grand est accepté et même encouragé, tandis que dans d'autres, des écarts d'âge plus petits sont la norme. Lisez aussi : Couple et épargne : la clé pour atteindre vos objectifs ensemble L'impact de la différence d'âge sur la dynamique des relations La différence d'âge dans une relation peut influencer divers aspects de la relation, y compris la dynamique du pouvoir, les intérêts communs et les objectifs de vie. Un écart d'âge significatif peut signifier que les partenaires sont à des stades de vie différents, ce qui pourrait conduire à des conflits et des malentendus. Cependant, il est important de noter que chaque relation est unique, et de nombreux couples avec une différence d'âge significative ont des relations réussies et heureuses. Tout dépend de la communication, des valeurs partagées et du respect mutuel. L'aspect psychologique de la différence d'âge D'un point de vue psychologique, la différence d'âge peut affecter la maturité émotionnelle et mentale des partenaires. Un partenaire plus âgé pourrait avoir plus d'expérience de vie et de maturité émotionnelle, ce qui pourrait être un facteur positif ou négatif, selon la façon dont il est géré au sein de la relation. A lire également : Trouver la formule idéale pour la répartition des dépenses dans le couple La règle du "demi âge plus sept' Une règle populaire qui circule depuis des années est la règle du 'demi âge plus sept'. Selon cette règle, le plus jeune âge qu'une personne devrait dater est 'la moitié de son âge plus sept'. Bien que cette règle puisse fournir une ligne directrice utile pour certains, elle n'est en aucun cas une règle stricte qui garantit le succès d'une relation. La différence d'âge idéale dans une relation est une question complexe qui dépend d'un éventail de facteurs, y compris les personnalités individuelles, les normes culturelles et les attentes sociétales. Bien que la recherche suggère qu'un écart d'âge plus petit pourrait augmenter les chances d'une relation durable, chaque couple est unique, et de nombreux facteurs différents contribuent à une relation réussie et heureuse. La clé d'une relation réussie, quelle que soit la différence d'âge, réside dans le respect mutuel, les valeurs partagées et une bonne communication. L'amour n'est pas limité par l'âge, et le bon partenaire pour vous est celui qui vous respecte, partage vos valeurs et communique avec vous ouvertement et honnêtement. N'oubliez pas, l'âge n'est qu'un nombre, et c'est l'amour, le respect et la compréhension entre deux personnes qui définissent réellement le succès d'une relation. Read the full article
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"Le premier mail du rectorat est tombé le 12 octobre, à l’attention de l’Association des cinémas indépendants parisiens (CIP), qui coordonne le dispositif «Collège au cinéma». Au deuxième trimestre de cette année, les classes de sixièmes et de cinquièmes parisiennes n’étudieront finalement pas le film d’animation Wardi, qui a pour héroïne une fillette palestinienne vivant dans un camp de réfugiés à Beyrouth. Une décision du recteur de l’académie de Paris, inédite en trente ans d’existence des dispositifs d’éducation à l’image (qui touchent 2 millions d’élèves par an), témoignent des professionnels désemparés. Un mail aux enseignants la justifie par le «contexte d’extrême tension internationale et de ses conséquences potentielles sur notre territoire». «Plusieurs enseignants ont fait remonter au rectorat des interrogations quant à l’opportunité de diffuser cette année ce film d’animation qui a pour cadre le conflit israélo-palestinien», étaye le courrier, estimant que «les circonstances dramatiques que connaît actuellement le Proche-Orient, la diffusion et l’exploitation pédagogique de Wardi pourrait se révéler très délicate».
Co-portée par le ministère de l’Education nationale, le ministère de la Culture, l’association l’Archipel des lucioles et le CNC, l’opération «Collège au cinéma» vise à faire découvrir aux classes plusieurs films retenus par un comité de sélection national, paritairement composé de représentants de la culture, de professionnels de l’image et de l’enseignement. Dans Wardi, le Norvégien Mats Grorud raconte l’exclusion sociale et politique du peuple palestinien à travers le regard d’une enfant de 11 ans, et retrace l’histoire traumatique de son grand-père, chassé de son village au moment de la Nakba en 1948. Commandes de dossiers pédagogiques, recherche d’intervenants pour les classes, tout était prêt – figurent également au programme les 400 coups de François Truffaut et Tous en scène de Vincente Minnelli.
«Donner des clés»
Le jour où les CIP sont informés de cette déprogrammation, les enseignants venaient de compléter leur formation, suivie d’un temps d’échanges. Contrairement à ce que le rectorat laisse entendre, rien ne permet alors de conclure à un mouvement de panique, affirme Patrick Facchinetti, délégué général de l’Archipel des lucioles : «Si c’étaient les enseignants eux-mêmes qui avaient souhaité déprogrammer le film au regard du contexte actuel ou d’un manque de formation, on n’aurait pas le pouvoir de leur imposer de le projeter. Au contraire, cela aurait été entendable !» Et d’ajouter : «Cette décision unilatérale nous pose question. L’école doit rester plus que jamais un sanctuaire où construire l’esprit critique des élèves, apprendre à décoder les images et former des citoyens éclairés. On trouve regrettable de mettre de côté ce film au regard de son sujet, alors que les jeunes sont en permanence inondés par les images et qu’il est nécessaire de leur donner des clés.»
Si une marge de discussion semblait encore possible au matin du 13 octobre, jour de l’attaque au couteau dans un lycée d’Arras où est tué l’enseignant Dominique Bernard, le ton du rectorat s’est soudain fait sans appel. Invoquée : l’impossibilité d’assurer la sécurité des enseignants, en première ligne quand il s’agit d’aborder des sujets si complexes. Un comité d’urgence convoqué le 24 octobre en présence de la Drac Ile-de-France et de la ville de Paris n’y fait rien. Contacté par Libération, le rectorat de l’académie de Paris parle plus prudemment d’un report : «Tous les professeurs qui participent à “Collège au cinéma” ne sont pas professeurs d’histoire géographie et par conséquent, ne possèdent pas tous les outils pédagogiques pour expliciter la complexité du contexte actuel. En l’état il nous semblait plus opportun de reporter la projection du film Wardi.» Le film est par ailleurs maintenu par les recteurs des quatre autres départements qui l’avaient sélectionné (le Val-de-Marne, la Lozère, le Lot-et-Garonne et la Marne), dissipant les soupçons d’un arbitrage du ministère de l’Intérieur lui-même.
«Un si beau témoignage»
«Les œuvres ne sont pas coupables», déclarait justement l’Observatoire de la liberté de création dans son communiqué du 25 octobre, dénonçant «la vague de déprogrammations et de reports d’œuvres d’artistes palestiniennes et palestiniens, ou dont le sujet a un rapport avec la Palestine». Peu d’annulations sèches ont été comptabilisées jusqu’ici, mais les ajournements d’événements (tels ceux proposés à l’Institut du monde arabe en marge de l’exposition «Ce que la Palestine apporte au monde») en disent long sur un climat inflammable.
La sortie le 8 novembre du documentaire Yallah Gaza de Roland Nurier, collection de témoignages sur la situation dramatique de l’enclave palestinienne et le quotidien des civils gazaouis, en offre encore un exemple. La tournée d’avant-premières prévues dans le réseau du GRAC (qui regroupe les salles Art et Essai de proximité en dehors de Paris) a connu trois déprogrammations en Rhône-Alpes, les exploitants se disant contraints de reporter des séances sous la pression des préfectures ou des mairies locales. «Ces gérants de salles ont cédé, expliqueRoland Nurier, mais dans 90 % des cas le film est maintenu, les exploitants répondent aux collectivités que le film n’est pas du tout un appel à la haine. Dans un petit village du Tarn-et-Garonne, on a quand même mis quatre gendarmes devant le cinéma… En cas de trouble à l’ordre public j’imagine, alors qu’il n’y a jamais eu aucun souci dans les débats que j’ai animés.»
Sans nouvelles des protagonistes de son documentaire, à l’exception de son chef opérateur gazaoui Iyad Alasttal, le cinéaste ajoute, ému : «Je ne comprends pas les motivations de déprogrammer un film comme le mien ou comme Wardi, un si beau témoignage de transmission. C’en est presque ridicule. Je ne fais que constater dans mes déplacements une forte empathie du public, une demande de compréhension et de contextualisation de la situation.» La projection de Yallah Gaza prévue à l’Assemblée nationale le 9 novembre est encore à l’ordre du jour, malgré l’interdiction de la venue de la militante Mariam Abudaqa, membre du Front populaire de libération de la Palestine (classée comme organisation terroriste par l’Union européenne) et frappée d’un arrêté d’expulsion."
#absolument déprimant...#bee tries to talk#upthebaguette#french#racism#article copié en entier car réservé aux abonnés
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Tu peux pas donner un titre comme "Eurydice meurt à l'aube" et que je ne te demande pas ce que c'est !
(enfin, seulement si t'as le temps, l'envie et l'énergie)
Aaaaah qu'est-ce que j'aime ce titre. Et puis environ un mois après l'avoir choisi j'ai vu passer l'album "Ulysses dies at dawn" des Mechanisms et j'ai capté donc mon idée de titre n'était pas vraiment mon idée.
Mais ! C'était mon projet de fin d'études l'année dernière, donc un petit 30 minutes de spectacle, et dont je veux faire une version longue pour-de-vrai sauf que passer en réécriture sur une pièce qui a déjà été jouée c'est... complexe.
Là, tout de suite je me rends compte que mon premier réflexe pour te parler d'Eurydice meurt à l'aube c'est de ressortir mon dossier de production et les commentaires du jury et que je suis pas en train de vendre-un-spectacle-qui-n'est-pas-encore-monté mais de parler d'une WIP.
D'un point de vue histoire pure c'est le mythe d'Orphée et Eurydice ; tout se passe aux Enfers. On suit en revanche plus le point de vue d'Eurydice que celui d'Orphée - on suit le deuil de soi plus que le deuil de l'autre.
Eurydice est mort. Eurydice va mourir.
(Eurydice au masculin parce que je joue Eurydice.)
Pour ce qui est des personnages, on a deux couples séparés : Eurydice et Orphée ; Perséphone et Hadès. Je pars du postulat que les Enfers et la mort existent hors du temps, dans le sens où Perséphone, Hadès, Cerbère et Eurydice, en tant que résident.e.s des Enfers, connaissent l'histoire qui va se dérouler.
Perséphone descend aux Enfers en été spécialement pour voir "la tragédie d'Orphée et Eurydice" en unalive action ; quand l'histoire sera finie, quand Eurydice, qui est déjà mort, mourra à nouveau, elle devra elle aussi quitter les Enfers et Hadès.
Eurydice, donc, lui, se "réveille" aux Enfers et apprend immédiatement le texte de sa tragédie. Il est mort, son fiancé va venir le sauver, son fiancé va le regarder au dernier moment et puis ce sera la fin. Eurydice ne veut pas jouer cette pièce. Quel intérêt ? Il est mort, il va rester mort, alors pourquoi prendre la peine de se briser le coeur une fois de plus quand tout est déjà joué d'avance ?
Le texte de juin est sur ao3, les dialogues du début sont pas forcément évidents sans l'espace (merci les comédien.ne.s qui s'illuminent à la troisième lecture de "aaah, ça veut dire ça ce que je dis!"). Le texte a trois tableaux qui font début-milieu-fin mais il reste pas mal de travail pour clarifier et étendre les enjeux, je ne pense pas trop toucher à l'introduction mais à partir de l'entrée d'Orphée je cherche et je réécris des bouts de dialogue (dont ceux du Document11 que Ferret a demandés).
C'est la partie du travail où il faut admettre que le lecteur/spectateur n'est pas dans ma tête et que ce serait bien de donner un peu plus que deux tirades pour résoudre un conflit. Même si la tirade d'Orphée est ma préférée de la pièce, il faut l'amener un peu plus.
En extrait, un petit bout du réveil d'Eurydice, avec Perséphone.
EURYDICE On m'étrangle ! On me tue ! Le serpent venimeux a mordu ! Le sang me brûle, l'air est si lourd, je ne sens plus mes mains, mes jambes, mes bras son gourds -- Je crie à mon aimé appelle "Au secours !" Mes yeux meurent en premier. Tout est noir, rien ne bouge. La mort m'éblouit -- silence. Déjà je ne sens plus ni la chaleur du jour ni l'herbe et je chancelle. Je murmure "Orphée" pour la dernière fois, Et puis je n'ai plus rien, plus de sang, plus de voix, alors tout est fini. PERSEPHONE On pourrait croire cela, mais ton amant, défait, a si bien supplié qu'il foule du pied l'Enfer pour te venir chercher. Suis-le jusqu'au dehors et tu l'épouseras. EURYDICE Est-ce possible ? PERSEPHONE Non. Cela ne sera pas. C'est écrit; Orphée a ce contrat: Ton âme sera au monde si tu suis ses pas à la condition seule que pas une seule fois avant de franchir le seuil de lumière qui marque, là-haut, la sortie des Enfers, il ne se retourne pour poser les yeux sur toi. EURYDICE Il se retournera. PERSEPHONE Oui. EURYDICE Pourquoi ? PERSEPHONE Par panique. Par amour. Parce que tu appelleras. Hymen, déjà, vous a condamnés, a dicté que jamais vous ne serez mariés. Les Dieux, mon petit coeur, tiennent ici leur parole, et par excès d'amour, vous jouerez votre rôle. EURYDICE Quel idiot. PERSEPHONE Un poète. EURYDICE Fallait-il que je l'aime ? Ah ! Je suis perdu, et voudrais emprunter à mon amour sa plume pour en faire un poème.
Aaaah parler de ce texte me fait tellement plaisir il faut vraiment, vraiment que je m'y remette en entier.
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Sims 4 : Grandir Ensemble (16 mars)
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Le trailer d’annonce du prochain pack d’extension est enfin sorti et la promesse est... incroyable ! Vraiment en tant que joueuse de famille c’est vraiment tout ce que je voulais et que j’aime !
J’ai tellement, tellement hâte !
Laissez-moi vous emmener avec moi dans la hype et l’impatience du 16 mars !
Bienvenue à San Sequoia, la nouvelle ville du jeu qui comportera 3 quartiers : Anchorpoint Wharf, Gilbert Gardens & un quartier résidentiel Hopewell Hills. Il est décrit comme décontracté et calme. En vrai typique maison américaine habituelle, (un peu dommage mais joli donc ca me va !).
Il sera possible de :
- Se promener en groupe ;
- Apprendre à faire du vélo (YESSS) ;
- Faire des sentiers de randonnée le long du lac ;
- Aller au cinéma (à voir si c’est un trou de lapin !).
On retrouvera une bibliothèque pour enfant et aussi une zone publique de jeux d’eau !
Nourrissons et Bambins
On le sait, c’est la grande nouveauté qui arrive avec la mise à jour du 14 mars. Cependant ils ont bien fait attention d’améliorer le gameplay pour les enfants. Chaque nourrisson sera le fruit d’un mélange des 18 spécificités comme se calme seul, lève-tôt, mange salement, a souvent le hoquet, ballonné, etc. Cela le rendra particulièrement unique ! On ne s’ennuiera clairement pas et ce ne sera pas répétitif !
Idem pour les bambins ! Ils sont mis à jour aussi avec 18 nouvelles spécificités qui leur sont propres : Difficile pour la nourriture, agressif, petit chanteur (trop mignon), adore l’eau, déteste aller se coucher (aie), adore qu’on le porte, etc. !
En objet nous avons bien une table à langer et le porte-bébé pour emmener les nourrissons dehors. Pas de poussette à l’horizon par contre !
Les enfants
Ils sont souvent pour moi les grands oubliés du jeu ! Alors j’en attends beaucoup pour eux. Ce qui est confirmé :
- L’apprentissage du vélo (comme je vous l’ai dit) ;
- 4 nouvelles aspirations : Pro des soirées pyjama, Corps & esprit, Capitaine de la récré & Génie créatif. Est-ce qu’elles seront vraiment différente de celles d’avant ? A voir !
- Possibilité de faire des cabanes dans les arbres ;
- Soirées pyjamas avec les copains et sacs de couchage ;
- Bracelets d’amitié ;
- La perte des dents de lait !
Les Sims introduisent aussi la confiance en soi pour les enfants ! A nous de faire en sorte qu’elle soit forte... ou pas ! Cela aura une influence sur la vie.
Ce que j’espère personnellement : qu’ils ont ajouté de nouvelles façons pour les enfants de jouer ensemble (comme le policier et le voleur, etc.)
Les adultes
Pour une fois ils sont inclus dans une image plus grande : celle de la famille. Et c’est génial ! On note :
- Il faudra surmonter des épreuves et cela nous façonnera, comme la perte d’un emploi, la crise de la quarantaine, voir sa famille emménager chez soi (pour combien de temps ?).
- Les baby showers (fêtes prénatales) seront possibles ;
- La compatibilité sociale : non seulement les sims pourront avoir des préférences et donc une alchimie spéciale (positive ou négative) avec les membres de la famille et les connaissances, mais ils auront aussi un dialogue associé. Donc s’ils ont l’habitude de se marrer ensemble ou s’ils sont compétitifs l’un avec l’autre, les interactions seront différentes !
- On aura des opportunités de conflits et d’unité qui auront une influence sur la dynamique familiale et la vie de nos sims !
- Ils annoncent aussi une refonte de l’arbre généalogique qui reflètera des relations familiales plus complexes ! Hâte de découvrir ça !
Les personnes âgées
Je suis ultra rassurée qu’elles ne soient pas les grandes oubliées de ce pack ! Je regrette un peu le manque de canne (peut être caché dans le CUS ?).
Les personnes âgées pourront :
- Faire de la marche rapide (mais on voit un enfant participer aussi) et notamment en groupe (ça promet d’être ultra marrant dans nos villes) ;
- Nouvelles activités à partager : puzzle, scrabble,etc.
- Un centre d’activité : qui ressemble un peu à une maison de retraite. A voir si c’est inclus dans le terrain avec les jeux pour enfants. Mais j’aime l’idée d’un terrain ou les personnes âgées sont principalement là.
- Ils peuvent donner des leçons de vie, se souvenir du bon vieux temps. Ils peuvent gérer la boite à souvenir de la famille... Je me demande à quoi elle va ressembler et qu’est ce qu’elle va apporter !
- Ils pourront piquer des friandises et avoir un préféré parmi leurs petits-enfants (ok ça j’adore ! C’est vraiment trop marrant).
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Comme vous pouvez le voir, la description est prometteuse pour toutes les tranches de vie qui en avait besoin (rien sur les ados mais on a eu année lycée donc niquel). On a vu pas mal de nouvelles animations (le père qui prend son fils dans les bras par exemple).
Ca promet un jeu plus vivant, plus réaliste, plus plaisant ! Le jeu va nous sembler bien insipide d’ici là ! Mais il va falloir être patient !
En tout cas c’est une superbe promesse d’EA. J’ai rarement été aussi hype par un contenu et aussi profondément touchée. En tant que joueuse de famille, on me livre sur un plateau tout ce que je voulais voir en jeu.
Filez-moi les voitures et le retour du bus scolaire et on approche de la perfection ! J’espère que le jeu sera à la hauteur des promesses ! RDV le 16 mars pour profiter de tout ça !
La description complète est en ligne sur le site de EA.
#review#san sequoia#sims 4#les sims#sims 4 gameplay#sims#ts4#the sims#the sims 4#Growing together#Grandir ensemble#Sims 4 growing together#sims family#family gameplay
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How sympathetic is Adrien supposed to be in the fic?
Hey! Sorry for not answering this sooner.
About Adrien: I think that his role in the fic in the whole time was to be the guy who is so nice but actually doesn't do anything to help his friends that are part of a minority you know? I'm not saying that if he sees someone being racist he wouldn't say something like: "Hey dude this isn't nice" but if someone is biphobic he wouldn't do anything because he would think that this isn't his problem.
He's the popular kid from his class, and probably from his whole school, so Adrien always try to be nice to everyone. Like he would say good morning to everyone he sees. But he won't be friends to people outside of his class, he likes to keep his friendships private, as much as his life allow him.
Adrien sympathy is something complex, because he likes to be nice but most of the times he just want things to be in the way that "should be" a.k.a the way that he wants. This is why because he wants so much to Nino and Marinette to act friendly to Lila, because he thinks that this is how it should be, you know?
Most of his thoughts about wanting things to be like before is because it was the time when it didn't had conflits, it didn't had people arguing and saying that "no this isn't right, Lila needs to be stopped!" Adrien doesn't like conflits and this is the big problem - aside from the fact that he's bigoted because of his father influence -, think about this: Conflits sometimes are necessary because if it's something you disagree and it hurts you, so it should be talked about it - in a calm and collected way .
So this is what Nino and his friends are doing, but Adrien doesn't accept this because his sympathy just works to things that benefits him and the things he believes.
I hope that you understand where my thoughts about Adrien comes from, if you have any more doubts about the way that I portray him you can ask as much as you want. I'm write mostly to me but not only for me. Bye bye💕💕💕
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Nouvelle lecture de Tarjei Vesaas, pour ce qui est estimé être son chef-d’œuvre, écrit en 1957 ; encore une fois, j’ai lu la version que je pouvais, c’est à dire la précédente, de Régis Boyer, et non pas celle, toute neuve proposée par les éditons Cambourakis.
Quel livre ! Pas de ceux qu’on oublie, je le devine déjà.
Mattis est considéré comme l’idiot du village, alors qu’il vit auprès de sa sœur qui assure la survie du duo, avec patience, silences, quelques pointes de lassitude et beaucoup d’abnégation -on devine les sacrifices qu’elle a dû consentir pour assumer ainsi son frère et vivre ainsi dans une campagne isolée, en tête-à-tête avec son frère aimé mais différent.
La narration, bien qu’à la troisième personne, est plongée dans l’intériorité de Mattis, et comme avec les fillettes du Palais de Glace, l’auteur s’applique à restituer du mieux possible le chaos sensible qu’est la psyché du mal nommé « simple d’esprit » ; car rien n’est simple dans son esprit. Tout est complexe, mouvant, inquiétant. Il se sent et se sait inadapté, il perçoit ses défaillances, et lutte constamment pour les dissimuler ou supporter les vexations qu’elles engendrent. C’est très douloureux et touchant à lire.
A dire vrai, je connais quelqu’un comme ça, que mon travail me force à fréquenter régulièrement. Il souffre en effet, et comme le héros du récit, il arrive qu’il s’agace parce qu’on ne « comprend rien » ! Et non , en effet, le langage échangé entre nos logiques de gens « futés » (dirait Mattis) et la sienne débouchent la plupart du temps sur l’incompréhension.
Et pourtant, Mattis est ultra sensible. Il n’arrive pas à grand chose, mais il perçoit les choses et s’émeut de la nature, particulièrement des oiseaux, il perçoit tout comme un présage, notamment une bécasse qui passe au-dessus de sa maison. Il perçoit les moqueries, il perçoit la beauté, l’amour qui lie les gens. Il a peur que sa sœur ne l’abandonne, un jour. Il est assoiffé d’affection, mais enfermé dans sa solitude. La bonté de certains lui offre un baume éphémère ; il se heurte sans cesse à la question insoluble : pourquoi les choses sont-elles comme elles sont ?
En cela, ses questions le rendent un peu universel, un peu comme chacun de nous. Nous aussi nous luttons pour paraître autres que nous sommes, je pense. Nous aussi nous rêvons d’un amour inconditionnel, d’une bienveillance sans fond, d’un désir de consolation impossible à rassasier. Nous aussi sommes de vrais enfants, qui faisons mine d’avoir grandi.
Mattis, naïf, sent néanmoins quand son équilibre est menacé, et que traverser le lac sur sa barque décatie ne suffira pas comme raison d’être, ni comme passeport pour l’autonomie. Sa lutte intérieure, rendue par une narration sobre et blanche pourrait-on dire, n’en est que plus bouleversante. On frémit de sentir les conflits qui agitent son esprit troublé, inquiet. Mais ici-bas, c’est seul que l’on pense, intimement, à la meilleure façon de décider les choses plutôt que de les subir.
Livre très triste et très beau, puissant et existentiel.
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